J’ai deux amis. Le premier s’appelle Petro. Sans crier gare, il a quitté Paris et son travail d’ouvrier du bâtiment pour rejoindre son Ukraine natale. C’était quelques jours avant l’ « opération spéciale » de Poutine. Comme ça. Pour être auprès des siens, au cas où ils auraient besoin de lui. Le second s’appelle Oleg. Étudiant tardif à ses heures libres, il gagne sa vie comme serveur dans un restaurant russe parisien. C’est par lui que j’ai su pour Petro. Inquiet, il voulait savoir si j’avais de ses nouvelles. Je n’en avais pas. Lire la suite sur le site d’A contretemps